


La conférence de presse de lancement a été donnée le 30 novembre à Yaoundé par la promotrice Annie Epée Dipita bien connue dans les milieux du football international.
Dès le 8 décembre prochain, le stade de la Bundesliga au camp Sic de Nlongkak à Yaoundé abritera un tournoi jeunes dénommé Festy foot Amot, dont le principal promoteur Mvondo Martin est un homme d’affaires basée à Valence en Espagne, ce dernier est également le président des Camerounais vivant en terre ibérique. Huit formations venant de différents quartiers de la capitale politique ont été triées au hasard, même si certains pensent que la sélection a été faite de manière discriminatoire. Les équipes retenues recevront chacune un jeu de maillots complets, aucune d’elle ne déboursera un seul centimes pour les modalités pratiques. En revanche Annie Epée n’a pas lésiné sur les moyens, son comité d’organisation a mis comme budget la somme de 15 millions de francs CFA, là dedans, les primes seules se montent à près de 2 millions 100.000 FCFA.
A terme, l’organisatrice souhaite étendre ce tournoi dans d’autres pays africains, de manière à faire croiser deux vainqueurs africains dans un pays en Europe. La mise en forme de cette initiative commencera en juillet 2008.
A l’ouverture de l’événement, les anciennes gloires vont jouer un match d’exhibition contre le Leclerc 2 – 0. Le tournoi qui démarre le 8 décembre va s’achever le 23 du même mois.
Les échecs passés de la promotrice
Au cours de la rencontre entre Annie Epée Dipita et la presse, tout le monde voulait savoir ce qui a encore poussé cette bonne dame à s’essayer dans un projet de football au Cameroun. Tellement tout ce qu’elle a tenté de faire a été boycotté par ses propres compatriotes qui cherchent toujours à y gagner quelque chose. La jeune dame qui pense toujours à son pays bien qu’elle soit bien implantée en Europe, n’entend pas céder aux persécutions et pressions ou échecs antérieurs. Elle trouve plutôt que les déboires passés doivent lui servir d’exemples aujourd’hui. Elle a par exemple laissé ses plumes lors de l’hommage échec à Marc Vivien Foé qu’elle a organisé il y a quelques années, elle s’est aussi embourbée dans l’expérience des joueurs japonais Kimi Toshi et Rio Tosuka dans le Canon sportif de Yaoundé, il y a d’autres exemples de ce genre mais madame ne veut pas y revenir. On doit d’ailleurs rappeler que parmi les intervenants qui l’ont fait échouer par le passé, elle l’a bien souligné, il y a la Cameroon Radio and Television qui avait reçu son cachet mais qui n’avait pas fait son boulot. Notre chaîne nationale de radio et de télé nationales qui se croyait tout permis à une époque regorge plein de charognards en son sein. Il faut penser à l’avenir et faire avec le présent, le passé c’est fini, semble souligner Annie Epée Dipita.
Jean Charles Jérémie
Dès le 8 décembre prochain, le stade de la Bundesliga au camp Sic de Nlongkak à Yaoundé abritera un tournoi jeunes dénommé Festy foot Amot, dont le principal promoteur Mvondo Martin est un homme d’affaires basée à Valence en Espagne, ce dernier est également le président des Camerounais vivant en terre ibérique. Huit formations venant de différents quartiers de la capitale politique ont été triées au hasard, même si certains pensent que la sélection a été faite de manière discriminatoire. Les équipes retenues recevront chacune un jeu de maillots complets, aucune d’elle ne déboursera un seul centimes pour les modalités pratiques. En revanche Annie Epée n’a pas lésiné sur les moyens, son comité d’organisation a mis comme budget la somme de 15 millions de francs CFA, là dedans, les primes seules se montent à près de 2 millions 100.000 FCFA.
A terme, l’organisatrice souhaite étendre ce tournoi dans d’autres pays africains, de manière à faire croiser deux vainqueurs africains dans un pays en Europe. La mise en forme de cette initiative commencera en juillet 2008.
A l’ouverture de l’événement, les anciennes gloires vont jouer un match d’exhibition contre le Leclerc 2 – 0. Le tournoi qui démarre le 8 décembre va s’achever le 23 du même mois.
Les échecs passés de la promotrice
Au cours de la rencontre entre Annie Epée Dipita et la presse, tout le monde voulait savoir ce qui a encore poussé cette bonne dame à s’essayer dans un projet de football au Cameroun. Tellement tout ce qu’elle a tenté de faire a été boycotté par ses propres compatriotes qui cherchent toujours à y gagner quelque chose. La jeune dame qui pense toujours à son pays bien qu’elle soit bien implantée en Europe, n’entend pas céder aux persécutions et pressions ou échecs antérieurs. Elle trouve plutôt que les déboires passés doivent lui servir d’exemples aujourd’hui. Elle a par exemple laissé ses plumes lors de l’hommage échec à Marc Vivien Foé qu’elle a organisé il y a quelques années, elle s’est aussi embourbée dans l’expérience des joueurs japonais Kimi Toshi et Rio Tosuka dans le Canon sportif de Yaoundé, il y a d’autres exemples de ce genre mais madame ne veut pas y revenir. On doit d’ailleurs rappeler que parmi les intervenants qui l’ont fait échouer par le passé, elle l’a bien souligné, il y a la Cameroon Radio and Television qui avait reçu son cachet mais qui n’avait pas fait son boulot. Notre chaîne nationale de radio et de télé nationales qui se croyait tout permis à une époque regorge plein de charognards en son sein. Il faut penser à l’avenir et faire avec le présent, le passé c’est fini, semble souligner Annie Epée Dipita.
Jean Charles Jérémie
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