La dernière séance s’entraînements des Lions a eu lieu le 28 janvier 2008 au Wesley College de Kumasi, mais auparavant le coach allemand et quelques jeunes joueurs étaient face à la presse à Georgia hotel.
L’équipe nationale du Cameroun devait partir de Kumasi le lundi 28 janvier mais pour des raisons de stratégie, le sélectionneur des Lions Papy Otto Pfister a préféré différer le voyage d’un jour. Les Lions iront donc finalement le mardi 29 janvier à 8 heures par avion, alors que le reste de la délégation suivra par route, pour environ 7 heures de voyage. Les Camerounais vont à Tamale pour discuter leur 3e et dernière rencontre contre les Soudanais qui sont déjà hors course. Pour cette expédition périlleuse, puisqu’elle conditionne notre qualification, les encadreurs n’ont rien négligé dans la préparation de l’équipe. Au cours de la dernière séance de travail, les coaches ont insisté sur la cohésion, la finition, le collectif, la rigueur dans la défense et les coups de pied arrêtés.
Il faut déjà noter qu’en matinée, les Lions ont tenu leur toute première conférence de presse, mais on a beaucoup regretté l’absence des ténors de l’équipe, tels que Samuel Eto’o, Gérémi Sorel Njitap, Timothée Atouba et Rigobert Song. Les organisateurs de la rencontre ont présenté aux journalistes les bleus Augustin Binya et Alexandre Song Bilong, ce qui a indigné les journalistes de la presse camerounaise. Selon certaines indiscrétions, ceux qu’ont appelle les cadres de l’équipe soutiennent qu’ils n’étaient pas au courant de la conférence, or certains pensaient déjà qu’ils ont boudé le rendez vous. On aura aussi noté l’énervement d’Otto Pfister lorsqu’un journaliste a taxé son équipe de coquille vide. Malgré le démenti d’Eto’o et Gérémi que certains considèrent comme les plus grands perturbateurs du groupe, le constat a été fait durant la dernière séance d’entraînements que ce sont les deux qui se sont mis à l’écart au moment où il fallait faire les photos et les interviews. Pourquoi cette réticence ? Difficile de dire.
Le harcèlement des joueurs
Après la conférence de presse, il nous a été rapporté que les joueurs camerounais se plaignent qu’ils n’arrivent plus à souffler dans leur hôtel, parce que les journalistes camerounais passent leur temps à aller les arnaquer pour avoir de l’argent. En demandant au rapporteur de donner les noms de ceux qui les ont harceler, il n’a pas pu le faire. Il nous a plutôt été donné de constater que même s’il y a pression de la part de certains confrères, les vraies pressions viennent des multiples amis et frères des joueurs qui se sont déversés au Ghana pour accompagner leurs stars. Autre remarque, les journalistes du Cameroun ont constaté que nos joueurs accordent facilement des interviews aux confrères de a presse étrangère qu’à leurs compatriotes. Aux dernières nouvelles, les joueurs indexés disent qu’ils n’ont aucun problème avec les journalistes camerounais.
Après la conférence de presse, il nous a été rapporté que les joueurs camerounais se plaignent qu’ils n’arrivent plus à souffler dans leur hôtel, parce que les journalistes camerounais passent leur temps à aller les arnaquer pour avoir de l’argent. En demandant au rapporteur de donner les noms de ceux qui les ont harceler, il n’a pas pu le faire. Il nous a plutôt été donné de constater que même s’il y a pression de la part de certains confrères, les vraies pressions viennent des multiples amis et frères des joueurs qui se sont déversés au Ghana pour accompagner leurs stars. Autre remarque, les journalistes du Cameroun ont constaté que nos joueurs accordent facilement des interviews aux confrères de a presse étrangère qu’à leurs compatriotes. Aux dernières nouvelles, les joueurs indexés disent qu’ils n’ont aucun problème avec les journalistes camerounais.
Jean Charles Jérémie à Kumasi, 19 h45
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire