Les Lions Indomptables joue tout à l’heure un match de quitte ou double contre les Crocodiles du Soudan qui sont déjà hors course, une victoire est impérative pour la qualification du Cameroun.
Ce mercredi matin 30 janvier 2008, le soleil est vite apparu sur la ville de Tamale qui est la capitale régionale du Nord du Ghana, mais comme à Kumasi et à Accra, il y a de la brume et cet Harmattan qui fendille les lèvres et bouche le nez des étrangers. Les habitudes des populations sont assez différentes de celles de Kumasi, ici les chevaux, les bicyclettes et les motos sont plus visibles dans les rues. On peut apercevoir plusieurs dames et jeunes filles sur les motos qui montent et descendent. Il y a de nombreuses motos mais les motos taxi sont interdites par les autorités locales. Les taxis de ville ne fonctionnent pas de la même manière que dans la ville de Kumasi, où les dépôts et les courses sont adoptés, à Tamale, le taximan peut prendre plusieurs clients en route lorsqu’il vous déjà dans son véhicule.
Au niveau des infrastructures, la ville dispose de belles routes, elle est propre comme d’ailleurs la plupart au Ghana. Dans la nuit, elles sont éclairées et belle à découvrir. A notre arrivée à Tamale le 29 janvier après 7 heures de route partant de Kumasi, la plupart des hôtels étaient déjà bondés de monde, il nous a été rapporté que les Angolais qui disputaient ici leurs rencontres du groupe D se sont déplacés en masse, on parle de 1500 supporters partis de Luanda dans l’espoir de voir les Palancas Negras s’envoler vers la victoire finale. La configuration actuelle du groupe D laisse présumer que les Angolais termineraient leur course en 2e position derrière les Aigles de Carthage, les Tunisiens qui joueront un match pour rien contre les Lions de la Teranga du Sénégal déjà éliminés.
En cas de qualification du Cameroun et de première place pour la Tunisie dans le groupe D, les Lions ne partiront de Tamale pour un retour à Kumasi qu’après leur quart de finale contre les Aigles de Carthage.
Ce mercredi matin 30 janvier 2008, le soleil est vite apparu sur la ville de Tamale qui est la capitale régionale du Nord du Ghana, mais comme à Kumasi et à Accra, il y a de la brume et cet Harmattan qui fendille les lèvres et bouche le nez des étrangers. Les habitudes des populations sont assez différentes de celles de Kumasi, ici les chevaux, les bicyclettes et les motos sont plus visibles dans les rues. On peut apercevoir plusieurs dames et jeunes filles sur les motos qui montent et descendent. Il y a de nombreuses motos mais les motos taxi sont interdites par les autorités locales. Les taxis de ville ne fonctionnent pas de la même manière que dans la ville de Kumasi, où les dépôts et les courses sont adoptés, à Tamale, le taximan peut prendre plusieurs clients en route lorsqu’il vous déjà dans son véhicule.
Au niveau des infrastructures, la ville dispose de belles routes, elle est propre comme d’ailleurs la plupart au Ghana. Dans la nuit, elles sont éclairées et belle à découvrir. A notre arrivée à Tamale le 29 janvier après 7 heures de route partant de Kumasi, la plupart des hôtels étaient déjà bondés de monde, il nous a été rapporté que les Angolais qui disputaient ici leurs rencontres du groupe D se sont déplacés en masse, on parle de 1500 supporters partis de Luanda dans l’espoir de voir les Palancas Negras s’envoler vers la victoire finale. La configuration actuelle du groupe D laisse présumer que les Angolais termineraient leur course en 2e position derrière les Aigles de Carthage, les Tunisiens qui joueront un match pour rien contre les Lions de la Teranga du Sénégal déjà éliminés.
En cas de qualification du Cameroun et de première place pour la Tunisie dans le groupe D, les Lions ne partiront de Tamale pour un retour à Kumasi qu’après leur quart de finale contre les Aigles de Carthage.
Les bagages des Lions et l helicoptere militaitre
Notons déjà qu’à l’arrivée des nôtres hier en mi-journée, les bagages des joueurs ne sont pas arrivés à temps, le petit avion militaire qui fait la navette entre Kumasi et Tamale pour les joueurs, ne pouvait pas transporter beaucoup de charge. Il était question de les faire acheminer par un hélicoptère qui est malheureusement tombé en panne à la dernière minute. Du coup, l’entraînement des Lions a pris du retard, la reconnaissance du stade de Tamale s’est faite vers 18 – 20 heures au lieu de 17 heures, à l’heure du match.
Pour le moment, à 5 heures du match des Lions, la pression monte et remonte, l’anxiété se lit sur les visages des Camerounais qui attendent. Tout le monde croise ses doigts, le pays tout entier est suspendu sur les griffes, les crocs et les coups de pattes des quadruples champions d’Afrique en position difficile à la 26e CAN. Mais Impossible n’est pas Camerounais.
Jean Charles Jérémie à Tamale, 12 h 15
Notons déjà qu’à l’arrivée des nôtres hier en mi-journée, les bagages des joueurs ne sont pas arrivés à temps, le petit avion militaire qui fait la navette entre Kumasi et Tamale pour les joueurs, ne pouvait pas transporter beaucoup de charge. Il était question de les faire acheminer par un hélicoptère qui est malheureusement tombé en panne à la dernière minute. Du coup, l’entraînement des Lions a pris du retard, la reconnaissance du stade de Tamale s’est faite vers 18 – 20 heures au lieu de 17 heures, à l’heure du match.
Pour le moment, à 5 heures du match des Lions, la pression monte et remonte, l’anxiété se lit sur les visages des Camerounais qui attendent. Tout le monde croise ses doigts, le pays tout entier est suspendu sur les griffes, les crocs et les coups de pattes des quadruples champions d’Afrique en position difficile à la 26e CAN. Mais Impossible n’est pas Camerounais.
Jean Charles Jérémie à Tamale, 12 h 15
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