La reconnaissance du stade s’est effectuée sur fond de confusion devant des Egyptiens visiblement taquins au milieu des journalistes et supporters camerounais.
La main courante était chaude ce 21 janvier 2008 au stade Baba Yara Sports stadium de Kumasi qui accueillera la grande rencontre Cameroun – Egypte du 22 janvier, c’était à l’occasion de la séance de reconnaissance du stade par la formation camerounaise. Or d’après les prévisions des dirigeants camerounais, la reconnaissance du terrain devait se faire à huis clos mais les choses se sont passées plutôt autrement. Les Pharaons d’Egypte n’ont pas attendu la fin des entraînements des Lions pour envahir les tribunes et déconcentrer nos joueurs, entre les chants des supporters égyptiens et la pression des journalistes étrangers sur les joueurs, Papy Otto Pfister n’a pas attendu la fin du cinéma pour s’enfuir avec ses poulains. Même le ministre des Sports qui suivaient les entraînements dans les tribunes, s’est laissé embobiner par l’animation supporters camerounais. Il n’a pas été autorisé aux joueurs d’accorder des interviews. Après la fuite du DTN sélectioneur national, seul Thomas Nkono est resté sur l’ère de jeu avec ses trois gardiens, Souleymanou Hamidou, Idriss Carlos Kaméni et Janvier Mbarga.
Sur l’état de santé du groupe, le Pr Guillaume Achu nous a rassuré que tout allait au mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais malgré ces assurances, nous avons remarqué que Stéphane Mbia Etoundi avait des bandages qui n’étaient pas fantaisistes au niveau des deux jambes. Le médecin nous a expliqué que ces bandages avaient pour but de prévenir un mal qui pouvait à nouveau survenir.
Ce qui a choqué au moment où les Lions Indomptables quittent la belle pelouse de Baba Yara Sports stadium c’est l’attitude des policiers ghanéens qui renvoyaient les journalistes camerounais hors de la main courante, alors que ceux des pays blancs et ceux du pays organisateur étaient tranquillement plantés à cet endroit durant le passage des nôtres. Il reste aussi le problème des badges à résoudre pour la presse camerounaise, les lenteurs des organisateurs de cette CAN nous inquiètent par rapport à la couverture des hostilités.
Apres les entrainements, le ministre des Sports a rencontre les Lions pour leur rappeler que le Cameroun tout entier attend le trophee final et surtout pour demander a la bande a Rigobert Song de garder le cap sur la discipline. La reunion n a dure que 15 minutes, car le coach attend n aime pas les choses qui durent.
Jean Charles Jérémie
La main courante était chaude ce 21 janvier 2008 au stade Baba Yara Sports stadium de Kumasi qui accueillera la grande rencontre Cameroun – Egypte du 22 janvier, c’était à l’occasion de la séance de reconnaissance du stade par la formation camerounaise. Or d’après les prévisions des dirigeants camerounais, la reconnaissance du terrain devait se faire à huis clos mais les choses se sont passées plutôt autrement. Les Pharaons d’Egypte n’ont pas attendu la fin des entraînements des Lions pour envahir les tribunes et déconcentrer nos joueurs, entre les chants des supporters égyptiens et la pression des journalistes étrangers sur les joueurs, Papy Otto Pfister n’a pas attendu la fin du cinéma pour s’enfuir avec ses poulains. Même le ministre des Sports qui suivaient les entraînements dans les tribunes, s’est laissé embobiner par l’animation supporters camerounais. Il n’a pas été autorisé aux joueurs d’accorder des interviews. Après la fuite du DTN sélectioneur national, seul Thomas Nkono est resté sur l’ère de jeu avec ses trois gardiens, Souleymanou Hamidou, Idriss Carlos Kaméni et Janvier Mbarga.
Sur l’état de santé du groupe, le Pr Guillaume Achu nous a rassuré que tout allait au mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais malgré ces assurances, nous avons remarqué que Stéphane Mbia Etoundi avait des bandages qui n’étaient pas fantaisistes au niveau des deux jambes. Le médecin nous a expliqué que ces bandages avaient pour but de prévenir un mal qui pouvait à nouveau survenir.
Ce qui a choqué au moment où les Lions Indomptables quittent la belle pelouse de Baba Yara Sports stadium c’est l’attitude des policiers ghanéens qui renvoyaient les journalistes camerounais hors de la main courante, alors que ceux des pays blancs et ceux du pays organisateur étaient tranquillement plantés à cet endroit durant le passage des nôtres. Il reste aussi le problème des badges à résoudre pour la presse camerounaise, les lenteurs des organisateurs de cette CAN nous inquiètent par rapport à la couverture des hostilités.
Apres les entrainements, le ministre des Sports a rencontre les Lions pour leur rappeler que le Cameroun tout entier attend le trophee final et surtout pour demander a la bande a Rigobert Song de garder le cap sur la discipline. La reunion n a dure que 15 minutes, car le coach attend n aime pas les choses qui durent.
Jean Charles Jérémie
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